Or, à force de se plonger dans ses images en noir et blanc (quand le film nous éblouit de ses couleurs vives particulièrement « pop »), le personnage finit par y déceler les indices d’un crime, qu’il va s’évertuer à élucider. Des indices apparaissent que la seule perception du monde avait manqués, mais que l’expérience de l’image mécanique permet de saisir : un visage apeuré, un regard vers un buisson, une arme qui surgit…

Olivier Maillart répond aux questions de Sylvain Métafiot et c’est ici :

Olivier Maillart : « Nous sommes toujours des spectateurs à l’intérieur et en dehors des salles de cinéma »