On rit de bon cœur, mais il ne faudrait pas penser qu’il s’agit juste d’une pochade. Le « petit chef-d’œuvre » parle avec esprit de la vocation d’écrivain et du besoin de reconnaissance. De plein d’auteurs. Et d’une foule de livres. A lire sur le site du Monde
Continuer à lireL’ouvrage de Jonathan Palumbo, étudiant en scénario à la Fémis, s’inscrit dans une actualité brûlante. L’animal comme matière cinématographique aux prises d’une représentation dont l’humanité se confond souvent avec un esprit létal sinon mortifère. Réfléchir l’animal au cinéma à partir de sa mise à mort ou de sa possible survivance revient à interroger les modalités d’un cadrage qui traverse l’histoire des formes cinématographiques. La suite à lire ici : http://www.cinechronicle.com/2018/11/livre-apres-la-nuit-animale-critique-119532/
Continuer à lireUne belle thèse qui devient un beau livre, c’est toujours enthousiasmant. Il faut patienter jusqu’à la fin novembre pour le palper, le humer car la texture des livres de chez Marest (et l’éditeur le dit lui-même) sont faits pour être touchés, caressés, ce sont des livres vivants et vivifiants. La suite à lire ici : http://livres-et-cinema.blogs.nouvelobs.com/archive/2018/11/24/animal-on-est-mal-au-cinema-608190.html
Continuer à lireA lire sur Mediapart
Continuer à lire(…) Un must pour les amateurs de cinéma expérimental. Merci, Maxime Lachaud et La Septième Obsession !
Continuer à lireLe « petit chef-d’œuvre » parle avec esprit de la vocation d’écrivain et du besoin de reconnaissance. De plein d’auteurs. Et d’une foule de livres. Merci, Xavier Houssin ! A lire dans Le Monde des Livres
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