Or, à force de se plonger dans ses images en noir et blanc (quand le film nous éblouit de ses couleurs vives particulièrement « pop »), le personnage finit par y déceler les indices d’un crime, qu’il va s’évertuer à élucider. Des indices apparaissent que la seule perception du monde avait manqués, mais que l’expérience de l’image mécanique permet de saisir : un visage apeuré, un regard vers un buisson, une arme qui surgit… Olivier…
Continuer à lireL’une des idées très fortes de cet essai dense et passionnant, c’est qu’il y a chez le spectateur de cinéma qui interprète les signes pour en tirer un sens caché un désir de transcender la banalité du quotidien, de le rendre soudain palpitant. La suite à lire ici : http://drorlof.over-blog.com/2019/01/l-homme-qui-regarde.html
Continuer à lireDandysme du nonsense, élégance de l’ellipse, technique du sourire crispé et érudition zen. Vous allez aimer Un petit chef d’oeuvre de littérature. Beaucoup. Un article signé Jérôme Leroy, à lire ci-après :
Continuer à lirelisez ce petit livre pour avoir les clés de ce qu’aucun amphi ne vous offrira. http://livres-et-cinema.blogs.nouvelobs.com/archive/2018/11/11/l-enigme-cinematographique-decryptee.html
Continuer à lireUne chronique signée Sarah Vajda, à lire ici :
Continuer à lireÀ l’instar de l’œil avide du Norman Bates de Psychose représenté en couverture, l’écriture de l’auteur est hantée par la présence d’une figure qui, par son acte même de voyeur, en vient à devenir le sujet d’une représentation constamment réfléchie. Une excellente critique signée Jacques Demange, à lire ici :
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