Survivre à Hollywood de Richard Fleischer

Les mémoires du cinéaste culte Richard Fleischer.

27,00

« C’est un bel hommage que rend Marest Éditeur à Richard Fleischer, exemple type d’un excellent salarié hollywoodien de studios qui dut se plier au système mais sut aussi y résister.»

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«Les cinéastes en herbe y trouvent de précieuses leçons de mise en scène – à commencer par celle-ci : ne jamais tourner avec des animaux, et surtout pas avec des taureaux, des otaries ou des requins. Et les cinéphiles se régaleront des portraits acérés de quelques-uns des monstres les plus délicieusement abjects, les plus adorablement détestables et les admirablement déjantés du cinéma.»

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Après être passé par la RKO Pathé News, Richard Fleischer amorce sa carrière de cinéaste avec Child of Divorce. Il poursuit avec plusieurs films à petit budget et réalise L’Énigme du Chicago Express, pépite du film noir qui devait lui valoir ses galons pour de plus grosses productions mais le studio est racheté par Howard Hughes, qui a d’autres projets pour lui…
Les mémoires de Richard Fleischer, pour la première fois traduits en français, sont un portrait d’Hollywood (de ses nababs, Disney, Hughes, Zanuck etc. et ses stars, John Wayne, Robert Mitchum, Kirk Douglas, Juliette Greco etc.) parfois acide, souvent drôle et enthousiaste. Survivre à Hollywood auprès de tels égos, n’a rien d’une sinécure mais Fleischer, contre vents et marées, tient la barre. Sa carrière s’étend sur quatre décennies et nous laisse de nombreux chefs-d’œuvre.

La bande-annonce du livre :

Poids 749 g
Dimensions 16 × 21 mm
EAN

9791096535361

Auteur

,

Traduction

Julien Guérif

Date de publication

11/05/2021

Préface

François Guérif

Pagination

436

Julien Guérif  est titulaire d'un Master of Fine Arts de l'université de South California à Los Angeles. Cinéphile, il est scénariste et auteur de plusieurs courts métrages. Parmi ses traductions, on lui doit notamment Dark City, le monde perdu du film noir d'Eddie Muller (Clairac, 2007), Wanderer, de Sterling Hayden (Rivages, 2010) ou Nothing Man de Jim Thompson (Rivages, 2021).

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