«Vincent Ostria fut un témoin de première main de cette parenthèse (dés)enchantée qu’il chronique aujourd’hui en de courts et vifs chapitres dans Paris Punkabilly 76-80.» Transfuge
«Nulle gloriole, mais un max de morgue trempée d’autodérision : tel est le cocktail roboratif de ce bouquin aiguisé comme un titre des Ramones, sorte d’autobiographie collée à une période bien précise.Sa phrase cingle comme un ri , son imaginaire est graphique.» Télérama
Paris-Punkabilly 76-80 est le portrait d’une époque perçue à travers le regard d’une jeunesse velléitaire qui va de fêtes en fêtes au rythme des concerts rock et punk, à Paris comme en banlieue. Vincent Ostria revient sur ses jeunes années, entre la lecture de La Recherche et la formation d’un groupe appelé Zozo et les Martiens, les concerts légendaires des Sex Pistols ainsi que sa fréquentation des Stinky Toys, Elli et Jacno, Eva Ionesco, Alain Pacadis… jusqu’à son départ pour New York et sa découverte d’Eraserhead (Lynch).
Ce récit est suivi par Journal d’un Crime, autre document précieux notamment pour tout jeune cinéaste indépendant qui voudrait découvrir les étapes obligées de l’obtention des crédits, en passant par le casting, le tournage, la post-production et leurs multiples aléas.
Entretien de l’auteur, sur Microciné :