Paris Punkabilly 76-80 de Vincent Ostria

Paris Punkabilly 76-80, suivi de Journal d’un Crime, de Vincent Ostria.

19,00

«Vincent Ostria fut un témoin de première main de cette parenthèse (dés)enchantée qu’il chronique aujourd’hui en de courts et vifs chapitres dans Paris Punkabilly 76-80.» Transfuge

«Nulle gloriole, mais un max de morgue trempée d’autodérision : tel est le cocktail roboratif de ce bouquin aiguisé comme un titre des Ramones, sorte d’autobiographie collée à une période bien précise.Sa phrase cingle comme un ri , son imaginaire est graphique.» Télérama

Paris-Punkabilly 76-80 est le portrait d’une époque perçue à travers le regard d’une jeunesse velléitaire qui va de fêtes en fêtes au rythme des concerts rock et punk, à Paris comme en banlieue. Vincent Ostria revient sur ses jeunes années, entre la lecture de La Recherche et la formation d’un groupe appelé Zozo et les Martiens, les concerts légendaires des Sex Pistols ainsi que sa fréquentation des Stinky Toys, Elli et Jacno, Eva Ionesco, Alain Pacadis… jusqu’à son départ pour New York et sa découverte d’Eraserhead (Lynch).

Ce récit est suivi par Journal d’un Crime, autre document précieux notamment pour tout jeune cinéaste indépendant qui voudrait découvrir les étapes obligées de l’obtention des crédits, en passant par le casting, le tournage, la post-production et leurs multiples aléas.

 

Entretien de l’auteur, sur Microciné :

Poids 329 g
Auteur

Préface

Dominique Forma

EAN

9791096535422

Date de publication

07/10/2021

Pagination

216

Dimensions

13,7 x 21

Fils d’un peintre bolivien et d’une prof toulousaine, Vincent Ostria est  fondu de rock et de cinéma dès l’enfance. Devenu un peu par hasard critique de cinéma, il collabore très longtemps aux Cahiers du cinéma, aux Inrockuptibles et à L’Humanité. Parallèlement il se livre à diverses expériences cinématographiques : courts métrages en Super-8 et 16 mm. Il réalise en 2010 un long métrage, « Crime », film noir expérimental, puis  revient à des essais non narratifs en vidéo tournés en France et en Italie. Dernière aventure : l’écriture d’une bande dessinée déviante qui détourne la figure de Mandrake le magicien.